Quand la nuit de mon cœur descendra dans mes mains
et de mes mains dans l’eau qui baigne toutes choses
ayant plongé je remonterai nu
dans toutes les images :
un mot pour chaque feuille un geste pour chaque
ombre
« c’est moi qui vous entends c’est moi qui vous connais
et c’est moi qui vous change. »
(Jean TARDIEU, Le fleuve caché, Poésies : 1938-1961, Poésie/Gallimard, 1968)Collages de Ph. Naudet
1 commentaire:
Good words.
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